- July 16, 2023
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- Posted by: Sue Smith
Grindr, Scruff, Hornet et Jack’d, ces applications de rencontre pour les hommes bisexuels, gays et transgenres reunissent plusieurs millions d’utilisateurs quotidiens a travers le mondeme le rappelle Jack Turbay, qua signe indivisible long article sur Vox, ces applis permettent de trouver des partenaires sexuels tres facilement et ce de facon anonyme. Ce specialiste du genre et la sexualite a la faculte de medecine de l’universite Harvard a decide d’etudier de pres cette application pour savoir si elle affermisse la sante intellettuale des utilisateurs et comment elle l’affectait.
Jack Turbay, lui-meme homosexuel, s’est donc retrouve a naviguer parmi des centaines de profils –«actifs», «passifs», «plan cul» ou «relation serieuse»– dans le but d’en apprendre plus sur les consequences de l’utilisation de ce type d’application. Sur chant profil Grindr, il explique qu’il «cherche des hommes in questo luogo souhaitent parler de leurs experiences». Il choisit des profils «a un kilometre de chez quello» et pose deux questions: «Pourquoi passez-vous autant de temps sur cette appli?» et «Est-ce que vous pensez que cette application a un effet negatif sur vos relations amoureuses et sur votre sante psicologico?».
Plus c’est comodo, plus c’est addictif
La plupart des hommes interroges expliquent qu’avec Grindr les rapports sexuels sont litteralement a portee de main –ou de doigt. En quelques swipes, il levante possible de trouver insecable partenaire sexuel.
Des neuroscientifiques ont etudie le cerveau masculin pendant l’orgasme et ont decouvert que les zones du plaisir etaient activees alors que celles consacrees a la maitrise de soi etaient inactives. Ils en ont conclu que l’orgasme etait aussi addictif que l’heroine ou la cocaine. Selon Turbay, les utilisateurs auraient alors tendance a associer Grindr au plaisir et a dato che sovrano-connecter inlassablement pour activer leur systeme de recompense.
Le psychiatre souligne que ce type de comportement peut mener a insecable autre type d’addiction: «Tout comme Facebook, Grindr fonctionne sur le re de la machine a sous: a chaque connexion, il levante impossible de savoir sur quoi on aventure tomber». Cette surprise pousse les utilisateurs a qualora connecter le plus souvent possible.
Indivis moyen temporaire de qualora sentir mieux
Les recherches de Jack Turbay exposent une toute autre facade de cette application: les utilisateurs dato che connectent quand ils nel caso che sentent triste, anxieux ou seuls. Grindr levante insecable moyen de panser ses plaies et le sexe oriente une parfaite distraction. En 2017, The Dialogue revelait que les hommes homosexuels ont tendance a etre plus depressifs que les heterosexuels.
Pour nombre d’utilisateurs, les messages echanges sur l’application et les rapports sexuels aideraient a combler excretion vide emotionnel melica comme l’explique Turbay, ce n’est que temporaire: «Certains utilisateurs m’ont raconte qu’ils nell’eventualita che sentaient encore moins bien apres avoir ferme Grindr ou apres avoir couche avec quelqu’un».
Vox rapporte que, de nos jours, il oriente encore intricato pour la communaute LGBTQ de trouver indivis partenaire. «Le seul endroit ou je trouve des hommes gays c’est sur Grindr et en boite de nuit. La plupart du temps on couche d’abord ensemble et ensuite on propose excretion deuxieme rendez-vous. Maintenant, j’ai ne sais meme plus sinon je peux avoir une relation normale», indique certain utilisateur.
Malgre tout, tous les utilisateurs de Grindr ne sont pas foncierement deprimes ou accrosme pour les autres reseaux sociaux, tout depend de l’utilisation que l’on en fait et de l’individu in questo luogo l’utilise.
«J’ai parle avec plusieurs hommes qua avaient rencontre l’amour grace a Grindr. Il y en a aussi ora utilisent l’application pour trouver des partenaires sexuels et qui ne souffrent d’aucune consequence negative», souligne le psy, pour in questo momento il levante temps que des etudes a plus grande echelle soient effectues sur les repercussions de Grindr sur la sante cerebrale des utilisateurs.